Suite de ce topic : Nouveaux venus dans le pensionnat.

Je n’en croyais pas mes yeux. Un vrai démon ! Ce Fëanturi était déconcertant, super mignon, mais déconcertant. De même, Haiko n’était pas en reste de ce côté-là. M’enfin qu’est-ce qui te prends Kat dis donc, t’es pas là pour ça !.
Je me remettais les idées en place intérieurement et regardais le jeune homme grimper les escaliers quatre à quatre, comme si nous n’étions pas là. Et avec mes valises en plus ! Pourquoi il les avait prise pour m’aider, alors que quelques minutes auparavant il s’était clairement payé ma tête, puis venait de se payer celle d’Haiko, ce que je trouvais particulièrement méchant et gratuit au passage. En l’espace de deux minutes nous n’avions plus le même homme. J’avais beau être cruche, il me semblait qu’il y avait anguille sous roche. Il ne pouvait pas être devenu gentil d’un seul coup de baguette magique, non ? Alors pourquoi faisait-il cela ? Est-ce qu’il voulait se rattraper auprès de moi ou bien est-ce qu’il n’essayait pas de m’aider simplement pour être arrivé le plus vite possible dans les chambres ?

C’est vrai que j’étais pressée aussi de la découvrir, et en même temps je sentais un nœud qui se formait dans mon estomac. Est-ce que tout se passerait bien ? Je me mis à trembler d’instinct, comme une petite feuille fragile. D’un seul coup j’avais envie de rebrousser chemin et de rentrer chez moi…J’étais effrayée, triste et je voulais revoir ma famille. J’avais beau avoir 19 ans, j’avais encore l’innocence et l’âme d’une petite fille et mes parents me manquaient déjà. Mes yeux commencèrent à se gorger de larmes montantes mais je tins bon et mon visage s’empourpra d’un coup, me faisant oublier mes pleurs à venir, tellement j’étais interloquée :

-Non, quoi ? Couple ? Non ! Je…suis mieux toute seule.

Je détournais le regard en rougissant de plus belle. J’aimais à admirer les beaux garçons, comme ces deux là…Mais oser franchir le pas…je ne crois pas que cela soit quelque chose dans mes cordes. J’étais trop lâche et trop peureuse pour cela…Et puis…il y avait cette histoire de premier baiser, et de première fois…Je ne me sentais pas franchir ce cap un jour, je n’arrivais déjà pas à me faire des amis…Alors ça…Je ne pouvais même pas l’envisager. Est-ce que…comment on savait qu’on tombait amoureuse ? Est-ce qu’il y avait forcément besoin de tout cela pour coucher avec un garçon ? Et voilà que j’étais encore partie dans la lune, et je n’avais pas entendu Haiko me parler. Au lieu de cela je perçus du mouvement et me rendait compte que ce dernier avait suivi le rougeâtre. Qu’est ce qu’ils étaient beaux ses cheveux rouges…et ses yeux  ! Que quoi ? Je secouais la tête une énième fois et fini par rejoindre les garçons et entrais à leur suite dans ce qui serait désormais NOTRE chambre. Je gloussais de plaisir en regardant l’intérieur, la décoration, et allait d’un lit vers un autre, en posant le reste de mes valises au sol et vit le lit près de la fenêtre. Je ne pu m’empêcher de sautiller dessus, pour me faire rebondir et demandais les yeux pétillants à Haiko :

-Y’a déjà quelqu’un installé dans celui-là ?

Fëanturi leva la tête vers Haiko, et fit un sourire mesquin, trouvant sa phrase idiote.

"Je ne peux pas faire visiter un endroit que je ne connais pas mon choux. J'aime trop mes blagues pour en changer. Je suis désolé pour vous."

Il se releva, et entra dans la chambre en posant les sacs de la fille par terre. Ensuite, il mit sa propre valise sur un lit au pif. Après il alla regarder par la fenêtre et prit une photo de dehors, se fichant de ce que pouvait penser les deux autres, il avait ouvert la fenêtre pour prendre la photo. Il la referma juste après la photo, le temps était toujours aussi pourri. Il soupira et s’assoie sur le lit où était sa valise. Il l'ouvrit, et prit un deuxième téléphone, et envoya des messages assez rapidement et rangea le téléphone. Son autre téléphone sonna quelques secondes plus tard, il le laissa sonner sans y faire attention.

Il regarda Haiko, laissant son téléphone sonner. La musique étant plutôt agréable, c'était de la musique J-pop. ça ne pourrait que mettre un peu d'ambiance dans cette discussion ennuyante.
"La chambre est pas trop laide. Il y a quelqu'un d'autre avec nous dans la chambre ? Il y a trois lits."

Nous arrivâmes enfin dans leur chambre, ainsi je pouvais lâcher le bagage de Katya en poussant un petit soupire de satisfaction. Je regardais les deux nouveaux tour à tour, laissant un beau sourire s'installer sur mon visage. Ha! Ça oui! Les nouveaux ça ne pouvait que rendre heureux! Et faire pleins de connaissances, il n'y a rien de mieux! Quand je vis Fëanturi ouvrir la fenêtre sans se soucier de nous, je faillis hausser la voix mais il se rendit heureusement rapidement compte que oui, nous étions toujours en hiver. J'arquais un sourcil avec un air moqueur.

".. Et bien tu as raison d'être désolé!"

Je ris un peu en me dirigeant vers la fenêtre, laissant apparaître mes dents blanches et alignées. Puis, j'ouvrai grand les rideau pour laisser la lumière naturelle s'installer dans la pièce. L'hiver avait cet avantage, créer beaucoup de luminosité grâce à la neige. Je me tournais finalement vers le lit le plus proche, où se trouvait la jeune femme, et posais mes yeux turquoises qui reflétaient alors la lumière du jour sur elle. Je pris un ton doux avec un air calme mais joyeux.

"Et désolé pour le fait que les chambres soient mixtes... Mais c'est pas si mal comme ça je trouve!

Puis je mis à nouveau à les regarder tour à tour, montrant du doigt le lit inoccupé.

"Et sinon, oui, il y aura quelqu'un d'autre qui vous rejoindra bientôt. Je compte sur vous pour bien l'accueillir!"

Mal réveillé je décide de m'allonger deux secondes sur le lit inoccupé. Je saute donc immédiatement sur le lit, rebondis une fois sous l'effet de la vitesse à laquelle je suis allé puis souffle doucement avec satisfaction, gardant tout de même les yeux ouverts pour ne pas m'endormir. Le sonnerie de Fëanturi n'était pas si mal..

Oulala, ce qu'il faisait froid...Bah non en fait...enfin pour moi qui avait passé de longs moments dans le froid canadien, sincèrement, quand Fëanturi ouvrit la fenêtre, ce fut pour moi comme une petite brise chaude. Par contre je me mis à grimacer. Il avait combien de téléphone celui-là au juste? Pfff quel frimeur! Et c'était quoi cette musique? Je ne connaissais pas, mais j'avais du mal à m'habituer à ce son.

Je tournais la tête, intéressée par la question du malpoli et regardais Haiko, un peu anxieuse. Encore une autre personne? Moi qui aimais ma tranquillité c'était raté... J'espère que cette personne ne serait pas trop bruyante au moins, pour compenser avec l'énergumène qui nous dispensait sa musique étrange.

Mais j'étais quand même ragaillardie par le sourire d'Haiko et par la vue de la neige. J'adore la neige! Puis je répondis enfin:

-Bah...j'essaierai...et...tu es fatigué Haiko?

Je l'avais regardé se laisser aller sur le lit en souriant:

-Y'a quoi d'autres à visiter ici? On a des douches?

Je commençais à ranger toutes mes affaires dans une armoire, et sur ma table de chevet, qui d'un seul coup se retrouvait pleine d'un monticule de livre, marquant une séparation entre le lit de mon camarade et moi, et ne pu m'empêcher de m'installer dans le mien pour en dévorer un, quand je me dis que c'était pas tellement le moment. Je refermais assez vite mon livre mais en le reposant je fis tomber tous les autres, sur le lit de Fëanturi, une partie tombant sur lui. Toute désolée, je les rangeais rapidement et auscultait son visage des mains:

-ça va? J'espère que ...cela ne va pas te faire de bleus...

Je me reculais vivement, en sentant que ma poitrine avait percuté son nez et me retournais très vite pour demander à Haiko, tout rouge de gêne:

-Euh bon...on continue la visite ou bien...?

Fëanturi éteignit son téléphone, ça ne pouvait pas plaire à tous le monde. Il y avait bien quelqu'un qui arriverait prochainement dans la même chambre que lui et l'autre. Les chambres mixtes étaient la seule chose cool qu'il trouvait dans ce pensionnat. Les questions idiotes que disait Katya, tapaient sur les nerfs de Fëan. Au moins, elle serait un bon souffre douleur pour lui.

"Non, il n'y a pas de douche, tu n'as qu'à te laver avec la neige dehors. Quelle question idiote."

Le gars s'était allongé dans le lit, Fëan le regardait se disant qu'il était bizarre. Jusqu'à ce que l'autre fasse tomber des livres sur lui. Il n'avait pas l'air énerver, mais il envoya tout de même les livres qui étaient tombés sur lui par la fenêtre.

"Arrête d'être gentille alors que tu n'en as pas envie. C'est idiot. "

Il se tourna ensuite vers Haiko qui était allongé sur le lit de personne. Il fit un sourire.

"Bonne sieste."

Il passa la porte en prenant la main de Katya, et l'emmena jusqu’aux douches. Il se fichait bien si elle arrivait pas à le suivre ou non, il la tira simplement rapidement.

"Il y a des douches et elles sont là. Il suffisait de regarder en arrivant dans la chambre. C'est tout, tu peux retourner avec l'autre. Je vous rejoins dans quelques minutes, vous pouvez m'insulter, et dire plein de vilaines choses sur moi."

Il entra ensuite dans la salle de bain en lâchant la main de Katya, pour voir s'il n'a rien à cause des livres de la cruche, retirant son haut, pour mieux voir.

Je ne préférais même pas répondre à la question de Katya, la trouvant assez idiote sur ce coup. Si je m'étais allongé comme ça, cela voulait évidemment dire que j'étais fatigué. Non? Bref. Je souris à Fëanturi puis il se dirigea avec la jeune femme vers la salle de bain. Au cas où ils n'auraient pas vus, je préférais leur indiquer avec le doigt où elle se trouvait. Je pointais donc mon doigt vers une porte, face à moi et vis que le jeune homme pénétrait immédiatement dans la pièce. Je pris un ton puissant mais aimable.

"Voilà, c'est ici la salle de bain."

Ma tête rechutait en arrière pendant que je lâchais un gros soupire. Je partais alors dans un petit fou rire en voyant comment il lui parlait et surtout en me souvenant comment les livres s'étaient écroulés sur lui. La jeune femme maintenant seule avec moi, Fëanturi étant dans la salle de bain, je me redressais après m'être calmé. J'avais un grand sourire et mêlais mon regard au sien. Je pris un ton doux.

"N'es-tu pas un peu fatiguée pour continuer la visite? Ne veux-tu pas ranger tes affaires et te reposer un peu? Tu sais ce n'est pas urgent hein!"

Je me relevais alors en m'étirant, puis je continuais.

"Après si tu le souhaites, on peut quand même continuer la visite! Mais sinon je peux te laisser seule si tu le souhaites."

Ce n'était pas que sa présence me dérangeait, bien au contraire! Mais je n'aime pas trop être sale. Et puis je n'étais pas très réveillé et une bonne douche ne me ferait pas de mal. Je me grattais l'arrière de la tête et hésitais à me recoucher sur le lit inutilisé. Je regardai ensuite tour à tour le lit en question, Katya et la porte.

Les mecs, qu'est-ce que ça pouvait être idiots par moments. Personne ne connaissais ce procédé de communication dont parles tant de psychologues? Une question cachée derrière une autre? Ils l'avaient pris au pied de la lettre, comme deux bonnes personnes qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez. Se fier aux apparences....voilà ce qu'ils venaient de faire tous les deux. La question de la douche, c'était une manière polie de demander à visiter le reste, la question pour la fatigue, une manière de témoigner de sa gentillesse, de se préoccuper du bien-être des autres.

Cela faisait peu de temps qu'elle connaissait ces garçons mais ils avaient préféré la croire cruche que d'essayer de penser que sa manière de procéder avait une démarche logique. Assez de temps pour qu'elle en ait eut assez de leur comportement. Ils avaient beaux être beaux, ils étaient assez pourris de l'intérieur, l'un comme l'autre. Le premier, odieux, qui ignorait que la gentillesse ce n'était pas une question de vouloir, simplement d'être, c'est quelque chose de naturel, qu'on a ou qu'on a pas...Fë en était visiblement dépourvu, et l'autre là, avec cette nonchalance de feignasse...Il donnait pas vraiment une bonne image du pensionnat cet Haiko.

Mais elle, elle ne resterait pas sur une simple impression, sauf que sur le moment, elle en eut assez et piqua une colère monstre à cause de ses mésaventures, la fatigue du voyage et leur façon de se comporter avec elle parce qu'elle était une fille...Elle fit quelque chose dont elle ne se serait jamais cru capable et éclata littéralement. Elle attrapait l'un et l'autre avec une force décuplée à cause de l'adrénaline, et les mit à la porte, sans autre forme de procès, et fermait le verrou avec colère, après leur avoir bien claqué la porte au nez.

Elle était loin de sa famille, et en avait déjà marre de l'ambiance qui régnait. Si cela continuait ainsi, elle rentrerait chez elle. Au lieu de cela, elle rangea toute ses affaires urgemment, en deux temps trois mouvements, plus rien ne traînait. L’excès de fureur retombait finalement et elle se laissait retombée sur son lit en pleurant. Cela avait toujours été comme cela. Jugée, critiquée, sans jamais même que personne n'eut pris le temps de la connaître. Elle ressortie un papier officiel qu'elle avait obtenu de dedans sa table de chevet où elle venait de le ranger, la désignant comme la lauréate de plusieurs concours d'intellect, la classant numéro un dans son pays, au Canada, et le déchirait en deux:

-A quoi bon?...

Elle laissa traîner le papier sur le sol, s'en fichant éperdument alors qu'en temps normal elle aurait refusé qu'on mette un papier hors d'usage ailleurs que dans une poubelle pour le recyclage, et rouvrait la porte avec violence, ses yeux encore pleins de larmes, et poussait tout ce qui se trouvait sur son passage, ne voyant même pas dans qui elle fonçait, totalement aveuglée et descendit les escaliers avec rapidité.

Fëan eut a peine le temps de prendre son haut, avant d'être jeté dehors pas la furie blonde de sa chambre. Il haussa un sourcil, et regarde Haiko. FËanturi se demandait quelle heure il était. Surement très tard. Il s'en fichait bien d'être en dehors de sa chambre, torse nu, il avait presque oublié qu'il l'était en fait.

"Je crois qu'elle est en colère. Bon... Tu sais s'il y a un hôtel quelque part dans la ville, ou pas ?"

Fëanturi fit un rire rapide. Quand la fille réouvra la porte, et poussa Fëanturi et tout ce qu'il y avait sur son chemin. Fëanturi recula d'un pas, et regarda la fille descendre. Il était amusé de ce qu'il se passait. Il tourna la tête vers Haiko.

" Tu devrais aller la consoler. Quoi qu'il est tôt et ce serait mieux qu'on la laisse, qu'elle se calme dans la chambre, et moi, je vais chercher me promener, ou sinon, j'irais à l'université. "

Fëanturi s'étira en baillant puis se gratta le ventre, en réalisant qu'il n'avait pas remit son haut. Il regarda son haut, bien qu'il avait eu la flemme de le remettre, il le mit, et rattacha la chaine avec celle de son pantalon. Il entra ensuite dans la chambre, et chercha dans ses valises sa veste rouge, couleur doré sur les boutons, mais d'une forme plutôt banal, contrairement a ses vêtements.

Je ne compris pas la raison de cet énervement soudain, du moins je n'eus pas le temps de comprendre. Elle qui avait l'air si faible et fragile venait de me mettre à la porte. J'avoue que c'était assez surprenant mais pas pour autant si désagréable. Elle se remettra bien de ce petit moment. Je m'écrasai contre un mur avant de m'écrouler sur le sol tandis que j'entendis la porte claquer. Un peu pris par l'effet de surprise mon temps de réaction se fit un peu lent. Puis je restai au final assis, le dos contre le mur en écoutant attentivement les paroles du jeune homme. Je remarquai en même temps depuis le couloir que la jeune femme s'agitait dans la salle mais préférai la laisser se calmer avant de venir peut être la voir. Je pris un ton calme en souriant.

"Non.. T'es sûr? Bien sûr qu'elle est en colère."

Je me mis à rire pour énerver Fëanturi ce qui ne semblait pas avoir grand effet mais ce n'était pas très grave. Je continuai alors pendant qu'un grand sourire m'animait.

"Oui surement. Mais au pire il y a d'autres chambres de libres où tu pourrais dormir pour la nuit je pense. Veux-tu que je t'y accompagne?"

Je lui lançai un regard interrogateur avant de me lever. Du moins de m'apprêter à me lever. J'en pris à peine l'initiative que je fus balayé par la porte. Je n'eus même pas le temps de me relever en hurlant que la jeune femme avait déjà atteint l'escalier, laissant derrière elle la porte qu'elle semblait avoir cassée. Je soupirai un long coup tout en me soupirant et en me relevant enfin. Je montrais désormais un regard fatigué avec un ton exaspéré.

"Je crois que je devrais la laisser seule. Elle reviendra."

Je commençais à me gratter l'arrière de la tête pendant que j'examinais attentivement la porte de leur chambre. Finalement, je la remis en place en deux trois mouvements avant de me retourner vers l'homme.

"Bon, je pense que toi aussi tu as la flemme de faire la visite n'est-ce pas? Tu découvriras seul c'est bien mieux. Donc on se dit à la prochaine? à plus!"

Je m'étais débarrasser de lui?... Oui un peu, et je l'assumais complètement. J'avais besoin de me doucher quoi! J'irais voir Katya plus tard.

Fëanturi se retrouvait tout seul près de sa chambre. Il pouvait aller emmerder Haiko sous sa douche, mais il fallait peut être pas trop l'embêter. Il n'avait pas non plus envie d'aller voir Katya, qui était déjà énervée comme ça.

Fëanturi mit alors sa veste. Puis il parti vers l'entrer, il n'allait pas marcher vite, ni rien , il prenait tout son temps. Il regarda son téléphone pendant tout le trajet jusqu'à la porte. Il appela quelqu'un et sorti du pensionnat comme il en était arriver. Laissant les autres derrière sans y penser. L'un qui se douche, l'autre qui boude. Fëanturi allait aller à l'université, ou quelque part dans la ville. Il n'avait pas prévu de se balader dans toute la ville, mais bon, pourquoi pas. Il avait toute une journée à perdre. Il allait peut être le faire. Il devait trouver un endroit où il pourrait être tranquille.

C'est comme ça que son arrivé au pensionnat se termina, il avait rencontré deux personnes qui aurait à présent une mauvaise opinion de lui.